Uncategorized

Que vers celle que j’aime

C'est en 1960, dans un cahier intitulé Symphonie, dont nous reproduisons ici une page, que Pierre Gamarra écrit : Que vers celle que j’aime, aille une lyre rouge comme mon cœur pour chanter à la nuit avec le vent des plaines sombre et vainqueur Que vers celle que j’aime au fond des ciels de brume… Lire la suite Que vers celle que j’aime

Uncategorized

Berceuse des kangourous

Je me plais à imaginer que parmi les premières paroles que l’être humain a prononcées, se trouvent les mots d’une mère à son enfant. Il existe des berceuses chez tous les peuples et dans toutes les langues. […] Je souhaite qu’un jeune lecteur s’amuse à relire, à corriger mes berceuses. À inventer à son tour des berceuses pour les kangourous …ou les arrosoirs ! ... Lire la suite